Faustine Bollaert : Sa maison de rêve en Bretagne face à la mer, « Je ne rêvais que de ça »

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« Je ne rêvais que de ça. » Ces mots de Faustine Bollaert résonnent comme une déclaration d’amour à la Bretagne. L’animatrice de La Boîte à Secrets sur France 2 a récemment ouvert les portes de sa maison familiale à Saint-Cast-le-Guildo dans les Côtes-d’Armor au magazine Paris Match, révélant un refuge aussi authentique que chaleureux. Cette demeure en pierre grise coiffée d’une tourelle et surplombant la mer représente bien plus qu’une résidence secondaire : c’est l’aboutissement d’un rêve d’enfance que la petite Faustine nourrissait en admirant cette maison depuis la plage. Aujourd’hui, mère de deux enfants, Abbie (11 ans) et Peter (9 ans), et mariée à l’écrivain Maxime Chattam, elle a transformé ce lieu en véritable quartier général familial où règnent simplicité et bonheur. Entre cousins, amis d’enfance et liberté retrouvée pour ses enfants, cette maison bretonne incarne exactement ce qu’elle cherchait : « Une maison où les enfants se sentiraient bien, où il y aurait plein d’amis, où l’on entrerait sans frapper. »

Sommaire

Le rêve d’enfance devenu réalité

L’histoire de Faustine avec Saint-Cast-le-Guildo commence dans son enfance, lorsque son grand-père décide d’y installer toute la famille. Petite fille, elle passe tous ses étés dans ce village des Côtes-d’Armor et développe une fascination pour une maison en particulier : une bâtisse en pierre grise avec une tourelle, majestueusement perchée face à la mer.

Des années plus tard, alors que sa carrière télévisuelle est lancée, Faustine apprend que cette fameuse maison est en vente. Elle franchit le pas et l’acquiert, réalisant ainsi le rêve qu’elle caressait depuis l’enfance. « Quand j’ai signé, j’ai pensé à mon grand-père, à tous ces étés d’enfance », confie-t-elle à Paris Match.

La maison à tourelle face à l’océan

La demeure familiale de Faustine Bollaert est une maison bretonne typique avec sa tourelle emblématique qui offre une vue panoramique sur l’océan. Les murs en granite, les volets traditionnels et la toiture en ardoise confèrent à la bâtisse tout le charme authentique de l’architecture bretonne.

L’animatrice a préservé l’âme du lieu tout en l’adaptant à la vie familiale : grand salon avec cheminée, vaste cuisine campagnarde capable d’accueillir une quinzaine de convives, six chambres pour la famille et les amis, et surtout, une terrasse panoramique où la tribu prend ses petits-déjeuners face à la mer.

« J’adore quand ils font du bruit », confie Faustine. « Je ne rêvais que de ça, avoir une maison où les enfants se sentiraient bien, où il y aurait plein d’amis, où l’on entrerait sans frapper. »

Le bonheur familial breton

Pour Abbie et Peter, les enfants du couple, la maison bretonne est leur lieu préféré. « De toute manière, Abbie et Peter n’aiment rien tant que d’être ici », explique leur maman. « Ils y sont plus libres que nulle part ailleurs. Là, j’arrive à les laisser se promener seuls sans être angoissée. »

Cette liberté devenue rare pour les enfants urbains est le plus beau cadeau qu’elle leur offre : aller à vélo au village, descendre seuls à la plage avec leurs copains, organiser des cabanes dans le jardin, partir pêcher des crabes…

Maxime Chattam, l’écrivain mari de Faustine, s’est parfaitement intégré au clan breton, même si sa première visite fut surprenante. « La première fois qu’il est venu à Saint-Cast, il a été surpris de devoir s’arrêter tous les 10 mètres pour saluer tel ou tel membre du clan », raconte Faustine en souriant. Aujourd’hui, l’écrivain apprécie cette chaleur familiale et profite de la tourelle comme bureau alternatif pour écrire ses thrillers.

Saint-Cast : le fief du clan Bollaert

Saint-Cast-le-Guildo n’est pas qu’un lieu de villégiature : c’est un véritable fief familial où plusieurs cousins et cousines de Faustine possèdent également des maisons. « On se voit tout le temps l’été », explique-t-elle. « Un apéro chez l’un, un déjeuner chez l’autre, une virée plage tous ensemble… »

Cette présence familiale nombreuse peut « impressionner les pièces rapportées », comme elle le dit avec humour, mais crée surtout une atmosphère chaleureuse et solidaire si caractéristique de la culture bretonne.

Contrairement à certaines célébrités, Faustine vit pleinement la vie du village : marché hebdomadaire, poissonnerie locale, événements municipaux… « Les gens me laissent tranquille, c’est respectueux », témoigne-t-elle. « Ici, je ne suis pas ‘Faustine Bollaert de la télé’, je suis juste Faustine. »

L’équilibre entre Paris et la Bretagne

Récemment, Faustine et Maxime ont déménagé pour se rapprocher de Paris et passer moins de temps dans les transports. « Ça me permettra d’avoir un nouveau rythme, de retrouver du temps pour mes enfants », explique-t-elle.

L’une de ses résolutions pour 2025 est claire : ne pas laisser sa vie professionnelle prendre le pas sur sa vie personnelle. Dans ses émissions, l’animatrice accompagne des invités aux parcours souvent bouleversants. « Je suis une passeuse de lumière », décrit-elle. « Cette émission est un endroit d’écoute respectueuse et de bienveillance. »

Pour tenir ce rôle exigeant sans s’épuiser, sa maison bretonne lui permet de recharger ses batteries. « Quand j’ouvre la porte ici, je sens mes épaules se relâcher », confie-t-elle. « Je me reconnecte à l’essentiel : ma famille, la nature, la simplicité. »

La maison de Faustine Bollaert à Saint-Cast-le-Guildo raconte une belle histoire : celle d’un rêve d’enfant devenu réalité, celle d’une famille qui a trouvé son ancrage, celle d’une femme qui refuse de sacrifier l’essentiel. Entre ses murs bretons face à l’océan, l’animatrice cultive ce qui compte vraiment : l’amour familial, la liberté pour ses enfants, et cette joie simple des étés bretons. « Je ne rêvais que de ça », disait-elle. Et c’est exactement ce qu’elle a construit.

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